Heuliez sous la coupe d'un repreneur voyou ?
5 millions d'euros publics pour rien : rien n'est réglé pour l'usine Heuliez menacée de fermeture depuis plusieurs mois. Voir les documents publiés par le NPA Deux Sévres et la liste Alternative à Gauche. Le soi-disant repreneur, maire et conseiller général UMP de Verneuil dans l'Eure, n'a tojours tien versé.
Pourtant un accord fut scellé le 22 décembre 2009 entre la présidente de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, le ministre de l’industrie Chrisitan Estrosi et un cabinet d’affaires, Bernard Krief Consulting, BKC. La production d’une voiture électrique était promise. Ceux qui, comme le NPA, se prononcent contre des subventions publiques à des entreprises privées pourvoyeuses de licenciement, étaient traités à cette occasion d’oiseaux de mauvaise augure.
La région Poitou Charente a déjà versé 5 millions d’euros pour la reprise d’Heuliez. Le gouvernement, par l’intermédiaire du Fonds Stratégique d’Investissement, avait promis 10 millions d’euros qui ne sont pas toujours versés. Le motif : le troisième acteur du ce deal à trois, à savoir, BKC n’a toujours rien versé. « C’est plus un bonimenteur qu’un sauveur » explique un délégué au CE. Et il se trouve que le président de BKC n’est pas n’importe quel homme d’affaire : il est maire de Verneuil dans l’Eure et conseiller général DVD proche de l’UMP. Aujourd’hui, c’est un repreneur voyou qui joue avec l’emploi de plusieurs centaines de travailleurs.
Le fait que cette opération ait été signée sous les auspices de Christian Estrosi et de Ségolène Royal explique peut être la véritable omerta autour de ce véritable scandale. Et, au delà de ce méli mélo politico financier, ce qui importe, ce sont les 600 emplois de l’usine Heuliez .
Lire :dans Paris Nprmandie D'autres exploits du patron de "Bernard Krief Consulting"
Lire aussi : "analyse et historique du dossier Heuliez réalisée par un militant des Deux Sévres"
Pourtant un accord fut scellé le 22 décembre 2009 entre la présidente de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, le ministre de l’industrie Chrisitan Estrosi et un cabinet d’affaires, Bernard Krief Consulting, BKC. La production d’une voiture électrique était promise. Ceux qui, comme le NPA, se prononcent contre des subventions publiques à des entreprises privées pourvoyeuses de licenciement, étaient traités à cette occasion d’oiseaux de mauvaise augure.
La région Poitou Charente a déjà versé 5 millions d’euros pour la reprise d’Heuliez. Le gouvernement, par l’intermédiaire du Fonds Stratégique d’Investissement, avait promis 10 millions d’euros qui ne sont pas toujours versés. Le motif : le troisième acteur du ce deal à trois, à savoir, BKC n’a toujours rien versé. « C’est plus un bonimenteur qu’un sauveur » explique un délégué au CE. Et il se trouve que le président de BKC n’est pas n’importe quel homme d’affaire : il est maire de Verneuil dans l’Eure et conseiller général DVD proche de l’UMP. Aujourd’hui, c’est un repreneur voyou qui joue avec l’emploi de plusieurs centaines de travailleurs.
Le fait que cette opération ait été signée sous les auspices de Christian Estrosi et de Ségolène Royal explique peut être la véritable omerta autour de ce véritable scandale. Et, au delà de ce méli mélo politico financier, ce qui importe, ce sont les 600 emplois de l’usine Heuliez .
Lire :dans Paris Nprmandie D'autres exploits du patron de "Bernard Krief Consulting"
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