La fermeture d'Aulnay n'est plus "inacceptable" pour le gouvernement
Ce qui était "inacceptable" pour François Hollande le 14 juillet est devenu presque normal. Même Arnaud Montebourg, qui s'était déchaîné avant l'été contre PSA Peugeot Citroën lors de l'annonce de 8 000 suppressions de postes et de la fermeture de l'usine d'Aulnay en 2014, juge aujourd'hui que "des mesures de redressement sont indispensables".