Molex : de la liberté d'entreprendre à la fraude

Publié le par Correspondant et source presse 4 juillet 2014

Les Molex n'en ont pas fini. La cour de cassation a estimé que la cour d'appel de Toulouse, n'avait pas «suffisamment motivé» la décision de 2013 qui avait défini le groupe américain Molex comme co employeur des 283 employés licenciés.

Les salariés de Molex s'étaient appuyés sur cet arrêt pour obten du groupe américain environ 15 millions d'euros de dommages et intérêts devant les prud'hommes en mars 2014.Ils sontbaladés devant un autre tribunal.

La Cour de cassation ne se prononce que sur les fondements juridiques des arrêts. L'affaire est renvoyée devant la cour d'appel de Bordeaux. C'était l'entreprise américaine qui s'était portée en cassation.

 Les avocats de Molex ont encore réussi à gagner du temps. Molex, grâce à ses profits florissants peut se payer des bataillons d'avocats procéduriers. Et les licenciés restent licenciés toujours en attente d'indemnisation

Lire article Dépêche du Midi

 

Cette même semaine, les Molex se rappellent d'une autre façon à nous. avec une chronique intitulée "De la liberté d’entreprendre à la fraude, retour sur le conflit Molex"

Lire cette chronique sur le site Terrain des Luttes

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