Réduction de la production chez Toyota à Onnaing
L'usine Toyota d'Onnaing a annoncé ce mardi 16 février une réduction de sa production d'ici au mois de juin.
Il est annoncé plusieurs mesures d’arrêt de travail, qui se concrétiseront ensuite par les suppressions de 350 postes d’intérimaires sur 608 actuellement.
Quatre jours de chômage partiel impacteront ainsi l’activité des salariés d’Onnaing, du mardi 6 avril au vendredi 9 avril inclus, tandis que la production sera arrêtée le lundi 31 mai. Des mesures qui font écho à une cadence de production qui sera réduite à partir du 22 février , date à laquelle la quantité de Yaris sorties de l’usine passera de 1 002 à 837 véhicules par jour.
Au total, le site d’Onnaing emploie actuellement 3 676 salariés, qui passeront donc au moment de la fin des contrats des intérimaires non conservés, à 3 326.
Pour justifier ces mesures, la direction a mis en avant l'impact des primes à la casse, progressivement arrêtées ou réduites par les gouvernements européens. Mais TMMF reconnait que l'usine est aussi touchée par l'impact du battage médiatique autour de la campagne mondiale de rappel de certains modèles qui doivent retourner chez les concessionnaires.
« Je ne comprends pas le ratio : on annonce une diminution de 16% de la production et on voit partir près de 25% du personnel : où est la logique ? », s’interroge d’ailleurs Eric Pecqueur, le délégué syndical de la CGT interrogé par la Voix du Nord.
Voir article Voix du Nord
Il est annoncé plusieurs mesures d’arrêt de travail, qui se concrétiseront ensuite par les suppressions de 350 postes d’intérimaires sur 608 actuellement.
Quatre jours de chômage partiel impacteront ainsi l’activité des salariés d’Onnaing, du mardi 6 avril au vendredi 9 avril inclus, tandis que la production sera arrêtée le lundi 31 mai. Des mesures qui font écho à une cadence de production qui sera réduite à partir du 22 février , date à laquelle la quantité de Yaris sorties de l’usine passera de 1 002 à 837 véhicules par jour.
Au total, le site d’Onnaing emploie actuellement 3 676 salariés, qui passeront donc au moment de la fin des contrats des intérimaires non conservés, à 3 326.
Pour justifier ces mesures, la direction a mis en avant l'impact des primes à la casse, progressivement arrêtées ou réduites par les gouvernements européens. Mais TMMF reconnait que l'usine est aussi touchée par l'impact du battage médiatique autour de la campagne mondiale de rappel de certains modèles qui doivent retourner chez les concessionnaires.
« Je ne comprends pas le ratio : on annonce une diminution de 16% de la production et on voit partir près de 25% du personnel : où est la logique ? », s’interroge d’ailleurs Eric Pecqueur, le délégué syndical de la CGT interrogé par la Voix du Nord.
Voir article Voix du Nord