Renault et la guerre en Ukraine
Comme partout, beaucoup de salariéEs de Renault sont révulsés par l’invasion de l’Ukraine et cherchent à se rendre utiles pour venir en aide aux réfugiéEs qui affluent en Europe, et discutent entre eux de l’opportunité de maintenir les activités du groupe en Russie. Partir pour ne pas contribuer au pouvoir économique de la dictature poutinienne ? Rester pour ne pas abandonner les 45 000 salariéEs du groupe en Russie ?
S’il n’existe pas de solution satisfaisante sur une planète livrée tout entière à la guerre et à l’exploitation, où aucun pays ne peut se targuer d’être plus respectable que son voisin, ces discussions spontanées entre les travailleurEs de Renault montre au moins que, malgré la guerre et les propagandes adverses, il existe toujours la possibilité de faire émerger une conscience internationaliste.
Renault et la guerre en Ukraine
Depuis le début de la guerre en Ukraine, Luca de Meo, le directeur général de Renault marche sur des œufs. Sommé comme la plupart des grands groupes occidentaux de se désengager de Russie - R...
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