Des ouvriers de l'automobile candidats NPA aux élections européennes
Philippe Poutou, tête de liste du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) pour la circonscription Sud-Ouest s'est déplacé à Rodez, pour tracter et échanger avec les salariés de l'usine Bosch
Il a d'abord pointé du doigt «La machine antidémocratique actionnée par les politiciens européens et la politique d'austérité menée par ces derniers. Il faut rompre avec ça, stopper cette spirale pour un meilleur partage des richesses». Nous devons reconstruire des tissus de solidarité», a assuré la tête de liste du NPA, employé à l'usine Ford, à Blanquefort.
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Pierre Le Ménahès, tête de liste NPA pour le Grand Ouest s'est rendu à la fonderie de Bretagne, à Caudan, pour y rencontrer les salariés. Ses ex-collègues aussi puisque le Hennebontais y a effectué une grande partie de sa carrière professionnelle et est devenu le leader CGT de l'usine jusqu'à sa retraite en 2012.
Dans le local syndical de l'entreprise, les salariés ont pu le rencontrer et débattre des grands thèmes qu'il défendra s'il est élu au Parlement européen. « L'Europe telle qu'elle est aujourd'hui ne peut satisfaire les salariés. C'est une Europe anti-sociale. »
Régis Louail ouvrier dans l'usine Renault de Cléon est candidat NPA sur la liste du Nord Ouest
Les salaires pour nous, ne devraient pas être inférieurs à 1700 € net et qui devraient être augmentés uniformément dans toute l’Europe ; nous avançons évidemment l’idée d’un SMIC européen. Il n’y aura pas de solution à la crise sans l’interdiction des licenciements, sans la baisse du temps de travail couplé avec des embauches… Mais tout cela se conquiert par la mobilisation de tous, par le rapport de force, par la résistance face au patronat et au gouvernement.